Les yeux ouverts

Les yeux ouverts

Documentaire de création

80 minutes / SANOSI productions – Bip TV / 2023.

Image / son Joffroy Faure / Composition sonore Michel Haze Montage image- étalonnage Catherine Libert / Montage son-mixage Pierre George

 » Depuis quelques années, Pierre, mon père, est atteint d’une maladie de l’oubli.
Avant que tout s’efface, nous décidons de profiter du temps qui reste pour nous regarder et nous parler comme jamais.
Avec son langage poétique qui le caractérise, Pierre essaie de dénouer les fils d’une histoire complexe de la maladie dans laquelle notre relation est prise malgré nous.
Au fur est à mesure de mes sollicitations et de l’urgence qui nous pressent, c’est toute une relation filiale qui se réinvente dans chaque instant vécu, avec ses complexités, ses bonheurs et ses fulgurances. Ce film est un chemin vers la joie retrouvée.
« 

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Sélectionné au festival les états généraux du documentaire de Lussas dans la section Expérience du regard.  Août 2023.

Diffusion BipTV en décembre janvier 2023-2024 (10 programmations).

Première régional au cinéma « Studio 53 de Boulazac le 7 mars 2024.

Contacter SaNoSi productions pour toute demande de diffusion

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Une interwew autour du film dans le n°19 de la revue Eclairages dans un beau dossier: Création et santé, un dialogue inattendu.

https://prologue-alca.fr/fr/eclairages

 » Deux hommes trouvent le moyen de se dire ce qu’ils ne s’étaient jamais dit… Avec Les Yeux ouverts, Joffroy Faure signe un premier film bouleversant, autour de la relation singulière, intime et poétique qui se tisse avec son père, dont il sait qu’il
est malade d’Alzheimer.  »

Juliette Warlop, éclairages, n°19, Printemps été, 2023.

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Une photo et quelques lignes sur le film dans la revue « Les cahiers du cinéma » d’octobre 2023 en lien avec un article sur le festival de Lussas.

https://www.cahiersducinema.com/actualites/un-deux-trois-lussas/

« Dans Les yeux ouverts, Joffroy Faure saisit le corps et le visage de son père à travers le longs plans attentifs, cernés de noir et de blancs profonds qui marquent autant un tourment intérieur qu’une par d’insaisissable, la recherche de contact se transportant dans un mouvement vers la nature.« 

Romain Lefebvre, Cahiers du cinéma, octobre 2023, p 57.

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